Faire confiance à des traductions est, pour beaucoup d’entre nous, un exercice difficile. Vos textes, sites Web, rapports et documents se retrouvent dans une langue que vous ne comprenez pas. Parfois, c’est uniquement la parole du professionnel qui sert de garantie.
Heureusement, la traduction s’est transformée en technologie, et ses résultats sont désormais mesurables : il existe des applications capables de créer des bases de données terminologiques et de marquer des repères dans un texte à des fins de prétraduction, et des technologies capables de vérifier la cohérence terminologique de milliers de fichiers. Il existe des niveaux d’exactitude, des niveaux de satisfaction et une norme de mesure des traductions. La traduction est devenue une activité technique gérée par du personnel technique, dont le rendement est mesurable. Les normes de qualité et de documentation ont été initialement développées pour les usines de fabrication. L’Organisation internationale de normalisation est responsable du maintien des codes de tout type de services, ce qui inclut bien évidemment la série ISO 9000.
Pangeanic attache une grande importance au processus de correction et à l’approbation par un linguiste indépendant avant la publication. Ainsi, la traduction a été lue, son exactitude a été vérifiée et son adaptation à la langue cible a été testée et approuvée avant d’être rendue publique. Ce procédé peu coûteux peut être réalisé par les employés locaux du client, une autre entreprise ou même Pangeanic. Plus important encore, cela signifie la conformité à la norme ISO 17100. De plus, Pangeanic offre une traçabilité complète de chaque étape (traduction, correction, modifications, approbation finale et livraison). Toutes ces données sont suivies électroniquement, ainsi que tous les changements apportés au texte jusqu’à la version finale.
Autrefois, la traduction était considérée comme un art, permettant de recréer la version originale dans une langue étrangère. Une pratique artisanale. C’est vrai. Au-delà des normes existantes, les meilleures traductions sont celles où le traducteur s’efface, où le texte se lit comme s’il avait été créé à l’origine dans cette langue. Nous ne parlons pas seulement de l’invisibilité du traducteur, mais aussi de celle du processus de traduction.